Toussaint, la fête des saints

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La Toussaint, c’est la (fête de) tous (les) saints.
Ce nom se construit de la même façon dans les autres langues :
italien Ognissanti
espagnol Todos los Santos
portugais Todos os Santos
anglais All Saint’s Day ou All Hallows’ (Day) > voir Halloween
allemand Allerheiligen
grec Αγίων Πάντων (le premier dimanche après la Pentecôte)

La Toussaint est une fête catholique, en l’honneur de tous les saints du panthéon catholique.

Au IVe siècle, l’église grecque décide de fêter les martyrs chrétiens. à l’origine, les premiers saints, après les apôtres, étaient des martyrs, morts pour leur foi. Cette fête est célébrée le premier dimanche après la Pentecôte dans l’église orthodoxe.

Au VIIe siècle, l’église catholique fait du Panthéon de Rome une église dédiée à Sainte-Marie des martyrs. Ainsi, au culte des divinités romaines se substitue le culte des saints catholiques. C’est à cette occasion que la fête de la Toussaint est instituée. à l’origine, elle est célébrée en mai. On l’a ensuite déplacée au 1er novembre. Pour des raisons pratiques, selon Jacques de Voragine (voir ci-dessous).

Le 1er novembre, c’est aussi le jour de l’an celte et s’oppose au 1er mai.

La Toussaint, c’est la fête des saints et non la fête des morts. Celle-ci a lieu le 2 novembre. Cependant, parce que la Toussaint est un jour férié, il est plus facile de se rendre au cimetière ce jour-là…

L’origine de la Toussaint selon Jacques de Voragine
Jacques de Voragine (en latin Jacobus de Varagine) est originaire de Varazze, en Ligurie (sur la côte, à 50 km à l’ouest de Gênes). Il est archevêque de Gênes. Il écrit au XIIIe siècle la Légende dorée (en latin Legenda aurea). Ce livre raconte la vie des saints illustres et connaît un grand succès pendant le Moyen Âge. Il regorge de miracles et de faits surnaturels tel qu’on pouvait le concevoir à cette époque : le Moyen Âge baigne dans le merveilleux…

 

LA TOUSSAINT
(1er novembre)

La fête de la Toussaint a été instituée pour quatre objets :
en premier lieu, pour commémorer la consécration d’un temple,
en second lieu pour suppléer à des omissions;
en troisième lieu pour expier nos négligences,
en quatrième lieu pour nous faciliter l’accomplissement de nos vœux.

1° Voici d’abord l’histoire de la consécration du temple. Les Romains devenus maîtres du monde, avaient construit un temple énorme, au milieu duquel ils avaient placé leur idole; et tout à l’entour étaient les idoles de toutes les provinces conquises la face tournée vers l’idole des Romains. […] Mais bientôt ce temple ne suffit pas aux Romains, qui construisirent pour chaque dieu un temple particulier. Et comme tous les dieux ne ne pouvaient pas avoir un temple à eux dans la ville, les Romains, pour mieux étaler leur folie, construisirent en l’honneur de tous les dieux un temple plus admirable encore que les autres, et l’appelèrent le Panthéon, ce qui signifie le temple de tous les dieux. Pour tromper le peuple, les prêtres des idoles lui racontèrent que la déesse Cybèle, qu’ils appelaient la mère de tous les dieux, leur était apparue ; et cette déesse leur aurait dit que, si Rome voulait remporter la victoire sur toutes les nations, on eût à élever, à tous les dieux ses fils, un temple magnifique. Ce temple fut construit sur une base circulaire, afin de symboliser l’éternité des dieux. […]

Or, sous le règne de l’empereur Phocas, lorsque depuis longtemps déjà Rome était devenue chrétienne, le pape Boniface, quatrième successeur de Saint Grégoire, obtint de l’empereur le susdit temple, le débarrassa de toutes ses idoles, et, le 3 mai de l’année 605, le consacra à la Vierge Marie et à tous les martyrs : d’où il reçut le nom de Sainte-Marie aux Martyrs. […]

Plus tard, encore, un pape nommé Grégoire transporta au 1er novembre la date de la fête anniversaire de cette consécration : car à cette fête les fidèles venaient en foule, pour rendre hommage aux saints martyrs, et le pape jugea meilleur que la fête fut célébrée à un moment de l’année où les vendanges et les moissons étaient faites, les pèlerins pouvaient plus facilement trouver à se nourrir. En même temps, ce pape décréta qu’on célébrerait, ce jour là, dans l’Eglise tout entière, non seulement l’anniversaire de cette consécration, mais la mémoire de tous les saints. Et ainsi ce temple, qui avait été construit pour toutes les idoles, se trouve aujourd’hui consacré à tous les saints.

2° La fête de la Toussaint a été instituée pour suppléer à des omissions : car il y a beaucoup de saints que nous oublions, et qui non seulement n’ont pas de fête propre, mais qui ne se trouvent même pas commémorés dans nos prières. c’est en effet chose impossible que nous célébrions séparément la fête de tous les saints, tant à cause de leur innombrable quantité que de notre faiblesse et du manque de temps.

3° La fête de la Toussaint a été instituée pour expier des négligences. car bien que nous ne célébrions la fête que de peu de saints, encore négligeons-nous souvent ceux-là même, par ignorance ou par paresse. Et c’est de ce péché que nous pouvons nous délivrer en célébrant d’une façon générale tous les saints, le jour de la Toussaint. […]

4° Enfin la fête de la Toussaint a été instituée pour nous faciliter l’obtention de nos vœux. De même que nous honorons en ce jour tous les saints, de même nous leur demandons d’intercéder, tous ensemble, pour nous, de façon à nous faire avoir plus facilement la miséricorde de Dieu. Les saints peuvent, en effet intercéder pour nous par leurs mérites et par leur affection : par leur mérite en ce que le surplus de leurs bonnes œuvres s’emploie à compenser nos fautes; par leur affection en ce qu’ils demandent à Dieu que nos vœux se réalisent, chose qu’ils ne font, cependant, que quand ils savent que cela ne contrarie pas la volonté de Dieu.

Et que, dans ce jour, tous les saints se joignent pour intercéder en notre faveur, c’est ce que prouve une vision qui eut lieu l’année qui suivit l’institution de cette fête. le jour de la Toussaint de cette année-là, le gardien de l’église de saint Pierre, après avoir pieusement fait le tour de tous les autels et imploré les suffrages de tous les saints, s’assoupit un moment devant l’autel de saint Pierre. Il fut alors ravi en extase et vit le Roi des Rois assis sur son trône, avec tous les anges autour de lui. Puis vint la Vierge des Vierges, avec un diadème de feu autour de la tête, et suivie de la foule innombrable des vierges.

[…]

Puis l’ange conduisit le gardien dans un autre lieu, où il lui montra des personnes des deux sexes, dont les unes étaient vêtues d’or, ou assises à des tables somptueuses, tandis que d’autres, nues et misérables, mendiaient du secours. Et l’ange dit au gardien : « Ce lieu est le Purgatoire. Les âmes que tu vois dans l’abondance sont celles qu’assistent copieusement les suffrages de leurs amis; les âmes de ces mendiants sont celles de personnes qui n’ont point d’amis, au ciel ni sur la terre, pour s’occuper d’elles. »

Et l’ange ordonna au gardien de rapporter tout cela au souverain pontife, afin que, après la fête de la Toussaint, il instituât la fête des Âmes, c’est-à-dire une fête où, du moins, des suffrages communs s’élèveraient au ciel en faveur de ceux qui n’avaient personne pour adresser en leur faveur des suffrages particuliers.

LE JOUR DES ÂMES
(2 novembre)

L’Église a institué, en ce jour, la commémoration des fidèles défunts, afin d’accorder un bénéfice général de prières à ceux, parmi ces défunts, qui n’en possèdent point de particuliers. Cette fête a été instituée à la suite de la vision racontée au chapitre précédent. Pierre Damien raconte aussi que saint Odilon, abbé de Cluny, apprenant que l’on entendait souvent sortir de l’Etna les hurlements des démons et les voix plaintives d’âmes défuntes qui demandaient à être arrachées de leurs mains par des aumônes et des prières, décida que, dans les monastères de son ordre, la fête de la Toussaint serait suivie de la commémoration des âmes défuntes ; et cette décision fut ensuite approuvée par l’Église entière.

 

https://www.lexilogos.com/toussaint.htm

 

Hineini: here I am

If you are the dealer,
I’m out of the game
If you are the healer,
it means I’m broken and lame
If thine is the glory
then mine must be the shame
You want it darker
We kill the flame
Magnified, sanctified, be thy holy name
Vilified, crucified, in the human frame
A million candles burning for the help that never came
You want it darker
Hineni, hineni (Hineni means Here I am)
I’m ready, my lord
There’s a lover in the story
But the story’s still the same
There’s a lullaby for suffering
And a paradox to blame
But it’s written in the scriptures
And it’s not some idle claim
You want it darker
We kill the flame
They’re lining up the prisoners
And the guards are taking aim
I struggled with some demons
They were middle class and tame
I didn’t know I had permission to murder and to maim
You want it darker
Hineni, hineni I’m ready, my lord
Magnified, sanctified, be thy holy name
Vilified, crucified, in the human frame
A million candles burning for the love that never came
You want it darker
We kill the flame
If you are the dealer, let me out of the game
If you are the healer, I’m broken and lame
If thine is the glory, mine must be the shame
You want it darker Hineni, hineni
Hineni, hineni I’m ready, my lord
Hineni Hineni, hineni Hineni
RIP Leonard Cohen

It has become a secular holiday but…

The Christian meaning of the word Halloween is often forgotten and lost in modern celebrations.

Halloween is a widely celebrated holiday that has ceased to have any religious associations. It has become a secular holiday focused on candy and dressing up. However, this doesn’t correlate to the original meaning of Halloween.The word “Halloween” is a Scottish shortening of the phrase “Allhallow-even,” literally meaning “All Holy Evening” and dates to the 18th century. The English have a similar phrase, “All Hallows’ Eve,” with the same meaning. Both terms denote the night before All Saints Day, November 1, and refer to the celebration of the holy men and women who are recognized in the Catholic Church as residing in Heaven.

Pope Gregory III established the feast during the 8th century after consecrating a chapel named in honor of “All Saints” in Saint Peter’s Basilica. The feast was then extended to the universal Church by Pope Gregory IV and made into a holy day of obligation for all Catholics.

Along with its celebration, All Saints Day was given a special vigil Mass the night before (October 31), which led to that date being regarded by Catholics as a “holy evening.”

So while the modern celebration of Halloween is devoid of Christian meaning, it originally was a “holy evening,” one where the saints were honored and God was praised.

 Read more: Why Halloween is a deeply spiritual holiday

 

Halloween helps us embrace the mysteries of our faith

Let’s face it: Part of why kids (and adults like me) love Halloween is because it’s creepy and mysterious. For whatever reason, those things just draw us.

While some people find this a sign of evil within, I disagree. For me, I’m drawn to the creepy and mysterious elements of Halloween for the same reasons I’m (bear with me!) drawn to the creepy and mysterious elements of our faith.

And there are a lot of creepy and mysterious elements of our faith. Whether we’re talking about lives of the saints or reading Bible stories, we run into frightening moments more often than we’d often like. Same when we’re in church. Not only do we pray to the Father, Son, and Holy Ghost, but we worship in sight of a crucifix and the stations of the cross and partake in the holy sacrament — all of which can seem terrifying to a child (we’re eating and drinking what?!?!). Our very faith hinges on a belief that a man died and rose from the dead! The ultimate “mystery of our faith” is creepy — and yet, so compelling. Just like every other element. These “creepy” bits of our faith aren’t about scaring us for scary’s sake, but about coaxing us to wonder and discover.

But sometimes those questions are harder to ask. Especially for kids. They don’t always have the words or might feel afraid of seeming “heretical.” Halloween gives us words and context to talk about mysteries and monsters and what’s good and bad about creepy. It brings us up close and personal with gore that can open up lines of communication that kids might not feel otherwise comfortable asking about Jesus or the saints.

Halloween can be a great time to remind our kids that not everything that spooks them or worries them or confuses them is bad. Sometimes those are the best things, as they can spark ideas and curiosity and questions that ultimately can lead back to God.

By Caryn Rivadeneira | Oct 27, 2017 on Aleteia

The night before All Saints Day

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The origins of Halloween are rooted in a massive exorcism performed in the 7th century.

The word “Halloween” is a Scottish shortening of the phrase “Allhallow-even,” literally meaning “All Holy Evening” and dates to the 18th century.
The English have a similar phrase, “All Hallows’ Eve,” with the same meaning. Both words denote the night before All Saints Day, November 1, and refer to the celebration of the holy men and women who are recognized in the Catholic Church as residing in Heaven. 

The origins of this particular feast date back to May 13, 610, when Pope Boniface IV consecrated a former Roman temple, giving it the new title of “St. Mary and the Martyrs.” Built by Emperor Agrippa and completed around 126, this temple was previously dedicated to all the pagan gods. It is known today as the “Pantheon” in reference to this original dedication, and remains an architectural marvel of the ancient world.

Pope Gregory VII transferred the Pantheon’s feast from May 13 to November 1, combining it with other feast days to create “All Saints Day.”

The Catholic Church has a tradition of saying prayers of exorcism when dedicating a building to the worship of God. This was especially the case in the Roman Empire, when many pagan temples were made into Christian churches. Pagan gods were seen by Christians as “demons,” and it was necessary to expel their presence from a building before Christian worship could be offered.

An exorcism would have been necessary to transform the Pantheon into a Christian church dedicated to the Virgin Mary and the saints. Exorcisms were a popular liturgy of the early Church and some historians claim it was the most widely celebrated rite during those first several centuries. This is also why the feast of All Saints has been traditionally seen in the context as a triumph over paganism.

According to the St. Andrew Daily Missal, because of these connections, “All Saints Day … commemorates Christ’s triumph over the false gods of the pagans and the original dedication of the church [the Pantheon] accounts for the use in the Mass, on the feast as well as on the Vigil, of many texts from the liturgy of the martyrs.”

In this way the first “Halloween” began with an exorcism, casting out the spirits of darkness to make way for the worship of God, the true light of the world.

 

Origin of modern humans ‘traced to Botswana’

By Helen Briggs BBC News

https://www.bbc.com/news/science-environment-50210701

Scientists have pinpointed the homeland of all humans alive today to a region south of the Zambesi River.

The area is now dominated by salt pans, but was once home to an enormous lake, which may have been our ancestral heartland 200,000 years ago.

Our ancestors settled for 70,000 years, until the local climate changed, researchers have proposed.

They began to move on as fertile green corridors opened up, paving the way for future migrations out of Africa.

„It has been clear for some time that anatomically modern humans appeared in Africa roughly 200,000 years ago,” said Prof Vanessa Hayes, a geneticist at the Garvan Institute of Medical Research in Australia.

„What has been long debated is the exact location of this emergence and subsequent dispersal of our earliest ancestors.”

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„Voyageurs entre deux mondes”

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« Nous parlons du cours des événements, de l’heureuse issue d’une entreprise,
de l’accès à la compréhension, de la démarche trompeuse d’un homme ; nous
parlons de ce qui est arrivé comme d’un précédent, du changement comme d’un
passage, de la mort comme d’un déclin ; nous considérons l’avenir comme une
montée, notre vie comme un pèlerinage, l’histoire comme une marche en
avant ; nous tenons quelque chose de facile à comprendre comme
« accessible », une décision comme un  pas … Ces petites indications suffisent à
montrer combien nous considérons sans cesse notre vie tout entière d’après
l’expérience première et fondamentale de notre marche quotidienne. Nous
allons, et rien que par ce mouvement tout physiologique nous affirmons déjà
qu’ici-bas nous n’avons aucune demeure permanente, que nous sommes en
route, que nous ne sommes pas vraiment arrivés, que nous cherchons encore le
but et que nous sommes véritablement des pèlerins, des voyageurs entre deux
mondes… » 

Karl Rahner

Alltägliche Dinge, en français in „Vivre et croire aujourd’hui“, Méditations théologiques, DDB, 1967.

Dans mon village

Eglise Saints-Simon et Jude – Ottrott

Eglise Saints-Simon et Jude d\'Ottrott

L’Eglise Saints-Simon et Jude est située au centre de la ville d’Ottrott, dans le Bas-Rhin.

L’édifice religieux a été construit en 1771, tout en possédant les caractéristiques d’une église alsacienne du XVIIème siècle.

L’intérieur de l’église renferme des orgues Silbermann, auparavant installés dans la Collégiale de Saint-Léonard.

About depression, corruption and becoming a baron

Valeriu Nicolae

For the past twelve years I spent quite some time working with children from one of the worst neighbourhoods in Romania. I often believe I was a moron for thinking I had any idea what I was doing.

It took me years to understand that repeated and regular failure would be an intricate part of my future, if I wanted to find success. It was difficult.

The first child that died of drug abuse, the first contact I had with a band of drug addicts under the age of twelve, the toilets from hell that I needed to clean, the children sleeping on the stairs and bitten by rats, the sewage running down the street, the piles of garbage, the racist doctor in an emergency room, the lice, the incredible arrogance and stupidity of donors and politicians, the useless meetings and endless talks, the absurd calls for projects of the…

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R. M. Rilke, ” Zi de toamna”-Herbsttag” — catalinafrancoblog

R. M. Rilke, ” Zi de toamna”-„Giorno d’autunno”-”

Jour d’automne”-”Herbsttag”

E vremea, Doamne: Vara a fost lungă. Pe ceasul soarelui așterne umbră, pe șesuri lasă să zboare vântul. Poruncește roadelor să fie bogate; mai dă-le câteva zile calde, pârga grăbește-le-o, și vinului gros dulceață adaugă. Cine casă n-are nu-și va mai clădi. De-acuma cel singur […]

via R. M. Rilke, ” Zi de toamna”-„Giorno d’autunno”-” Jour d’automne”-”Herbsttag” — catalinafrancoblog

Vechi şi nou în religie — dilemaveche.ro

În 2018, Monica Broşteanu a tradus, pentru Editura Galaxia Gutenberg, una dintre cărţile preotului catolic Michel Remaud, fost director al Institutului Creştin de Studii Iudaice „Albert Decourtray“ de la Ierusalim. Deşi apărut în 1983, volumul Creştini în faţa lui Israel, slujitor al lui Dumnezeu nu şi-a pierdut deloc utilitatea, capacitatea de a disloca prejudec

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